Chapitre 7 :
Hostilité
Arrivé devant la porte de gauche, Zac leva sa main gauche et dit :
« Enfer véritable
Montre moi ta vrai nature
Ouvre cette porte qui mène au flamme
Au nom de Satan »
La porte s’ouvrit en laissant voir un monde enflammé. Des démons étaient postés ci et là autour d’une petite maison noircie par les flammes. Zac se dirigea vers la battisse lorsqu’un démon l’aborda :
-Qui êtes-vous ?
-Cela ne vous regarde pas.
-Alors donnez moi le mot de passe.
-D’accord
en un éclair blanc, l’interlocuteur se désintégra et un autre apparut :
-Bonne réponse, suivez moi.
Les deux hommes empruntèrent un chemin sinueux et jonché de gardiens volant. Enfin ils arrivèrent à la maison et son guide tambourina à la porte :
-Oui, répondit une voix féminine.
-M. Dark voudrait vous voir.
-Quoi… Oui, entrez, dit la voie un peu étonnée.
La porte s’ouvrit, le démon se volatilisa et Zac entra. La maison, petite de l’extérieur, était spacieuse de l’intérieur. Quelques bibelot étaient disposés sur de grand, meuble, de fer. Une cheminée était construite en face de l’entrée et un sofa était placé au centre de la pièce principale. A côté de celle-ci se tenait une grande, et très belle femme, habillée de orange et de noir et coiffée d’une magnifique chevelure violette :
-Bonjour, que veux-tu ?dit-elle
-Comment vas-tu ? A chaque visite de Zac, elle devenait de plus en plus froide.
-Bien, que veux-tu, repris-t-elle agacée.
-Je voudrais que tu rende la vie à deux enfants que j’ai tué lors d’une transformation.
-Pourquoi le ferais-je ?
-Je peux toujours déclarer la guerre à l’enfer.
-Toi seul ! impossible. ironisa-elle
-Tu vois ce que j’ai fait a ton garde tout à l’heure, et bien je le ferais à tous les habitants de l’enfer. Alors mesures tes paroles.
-Bien…
Elle prit une poignée de cendre dans le vase juste derrière elle et dit tout en la jetant :
« Gaëlle et Isor
Je vous libère de cette prison
Et repartez sur terre
Mon accord je vous donne »
Deux fantômes apparurent, se transformèrent en humain puis disparurent :
-Voilà, tout est oublié.
-Merci beaucoup maman.
-Ne redit jamais cela ou je t’étrangle.
-Pardon.dit-il sur un ton légèrement moqueur.
Zac la remercia encore une fois puis partit. Il se dirigea vers la porte, l’ouvrit et sortit de l’enfer. Quand tout à coup, au moment ou il ouvrait la porte pour la terre, un flux d’énergie le transporta chez la femme a laquelle il venait de parler :
-Quoi ? dit Zac énervé.
-J’ai oublié de te dire que je vous déclare la guerre. A toi et à ton père.
_Mais pourquoi ? qu’est ce qu’on t’a fait ?
-Vous avez tué un démon fidèle lors de votre dernière mission commune.
-Quoi§ mais ce n’est pas la première fois.
-Oui mais la c’était mon nouveau mari. Je vais tous vous exterminer en commençant par toi.
Zac arrêta le temps puis se téléporta chez son père :
-Pè… Maître, Satan déclare la guerre aux cieux, dit Zac essoufflé.
Dieu se leva songeur puis fit exploser un vase.
-Comment ose-t-elle ?Je dois la devancer.
-Non !hurla Zac. Essaye de régler cette affaire mais sans utiliser la force.
-Quoi ! Mais tu n’es pas bien !
-Si évite la guerre. Tu imagines les répercutions sur terre. Non ! Va la voir et parle lui.
_Oui tu as raison.
Dans un coup de vent Dieux disparut laissant Zac seul au milieu de la grande salle un peu obscurci par la colère de son père.
Chapitre 8 :
Une vie normale
Une semaine été passée depuis le changement d’avis de Satan au sujet de la guerre, et tout était rentré dans l’ordre.
Zac était en cour de nécromancie blanche et apprenait à préparer un onguent contre les blessures graves quand M. Berganov lui dit qu’un messager était la. Zac demanda la permission d’aller aux toilettes. Il sortit il et se dirigea vers le messager. C’était une petite sphere bleu munie d’une paire d’aile d’ange :
-J’ai une mission pour vous, dit la sphère.
Zac dirigea un rayon du soleil directement sur la petite boule. Elle fondit puis disparut.
-Plus jamais de missions, dit Zac tout en repartant soulagé et soucieux à la fois.
Chapitre 9 :
Problèmes au paradis
Cela faisait déjà un mois que Zac avait commencé ses tournées pendant la nuit et c’était bientôt noël. L’école était décoré de centaines de guirlandes colorées et de sapins d’un vert émeraude. Les torches, qui illuminaient les salles et les couloirs, avaient été changées de couleur. Les flammes avaient pris une teinte rouge pour les une et verte ou blanches pour les autres. Le parc de l’académie était recouvert d’un manteau d’un blanc immaculé. Quelques animaux de la foret en étaient sortis pour admirer ce magnifique paysage.
Les trois amis ainsi que le fantôme, M. Berganov, étaient en train de discutés tout en se dirigeant vers le hangar à balais ou il les emprunteraient pour retourné chez eux pour les fêtes de noël et du nouvel an. Mais Zac ne partait pas bien sur, il irait chez son père ou sa mère selon leur décision. Il demanda à Amandine si elle pouvait l’envoyer chez son père pour entendre le verdict. Alors ils changèrent de direction pour la direction pour se rendre dans la foret et se placé au centre des blocs de saphir avant qu’un éclair ne le foudroie et ne le transporte dans la petite triangulaire ou il prendrait la porte de droite pour se rendre dans les nuages chez son père. Pendant ce temps, amandine et Roland auraient enfourchés leur balais et auraient disparus dans les nuages.
Zac, arrivait dans la salle ou était installé Dieu dans son gigantesque fauteuil, dit :
-Alors, je vais ou cette année ?
-Tu ne vas nulle part. dit Dieu.
Il redoutait cette réponse car cela faisait un bon moment qu’il refusait d’effectuer les missions qui lui destiné.
-Quoi ? Tu te fiche de moi ou quoi ! dit Zac avec emportement. Et pourquoi ?
-Parce que tu refuse d’accomplir les missions que nous te donnons. Alors, ta mère et moi-même avons convenus de te supprimer les fêtes de cette année afin de te remettre les idées en place.
-Vous n’avez pas le droit ! hurla t-il.
-Si et rappelle que je suis Dieu et que, si le voulais, tu disparaîtrais de ce monde immédiatement. Dit Dieu un peu surchauffé.
-Et toi, rappelle toi que je suis ton fils et que je suis nettement plus puissant que toi.
-Tu veux dire que tu es plus fort que moi. dit Dieu en bombant la poitrine.
-Oui.dit Zac en colère.
-Alors prouve le.
Le sceptre s’envola de son coussin de velours et fut rattrapait par Dieu en 1 seconde. Zac, lui, s’était fait ses ailes : une aile d’ange et l’autre une de démon. Un bâton long de prés de deux mètre apparut entre ses mains. Quand sa transformation fut terminé, Zac se mit en garde et Dieu en fit autant.
Un duel avait été engagé entre Zac et Dieu et tout le monde sais qu’un duel contre Dieu ne se termine par la mort de l’un des deux combattant.
Sur Terre le ciel était devenu gris et le temps se partageait la pluies et le vent glacial qui soufflait de temps en temps au milieu de cette tempête résultat de la colère de Dieu et de Zac réunit. Cela faisait déjà un mois que Zac avait commencé ses tournées pendant la nuit et c’était bientôt noël. L’école était décoré de centaines de guirlandes colorées et de sapins d’un vert émeraude. Les torches, qui illuminaient les salles et les couloirs, avaient été changées de couleur. Les flammes avaient pris une teinte rouge pour les une et verte ou blanches pour les autres. Le parc de l’académie était recouvert d’un manteau d’un blanc immaculé. Quelques animaux de la foret en étaient sortis pour admirer ce magnifique paysage.
Les trois amis ainsi que le fantôme, M. Berganov, étaient en train de discutés tout en se dirigeant vers le hangar à balais ou il les emprunteraient pour retourné chez eux pour les fêtes de noël et du nouvel an. Mais Zac ne partait pas bien sur, il irait chez son père ou sa mère selon leur décision. Il demanda à Amandine si elle pouvait l’envoyer chez son père pour entendre le verdict. Alors ils changèrent de direction pour la direction pour se rendre dans la foret et se placé au centre des blocs de saphir avant qu’un éclair ne le foudroie et ne le transporte dans la petite triangulaire ou il prendrait la porte de droite pour se rendre dans les nuages chez son père. Pendant ce temps, amandine et Roland auraient enfourchés leur balais et auraient disparus dans les nuages.
Zac, arrivait dans la salle ou était installé Dieu dans son gigantesque fauteuil, dit :
-Alors, je vais ou cette année ?
-Tu ne vas nulle part. dit Dieu.
Il redoutait cette réponse car cela faisait un bon moment qu’il refusait d’effectuer les missions qui lui destiné.
-Quoi ? Tu te fiche de moi ou quoi ! dit Zac avec emportement. Et pourquoi ?
-Parce que tu refuse d’accomplir les missions que nous te donnons. Alors, ta mère et moi-même avons convenus de te supprimer les fêtes de cette année afin de te remettre les idées en place.
-Vous n’avez pas le droit ! hurla t-il.
-Si et rappelle que je suis Dieu et que, si le voulais, tu disparaîtrais de ce monde immédiatement. Dit Dieu un peu surchauffé.
-Et toi, rappelle toi que je suis ton fils et que je suis nettement plus puissant que toi.
-Tu veux dire que tu es plus fort que moi. dit Dieu en bombant la poitrine.
-Oui.dit Zac en colère.
-Alors prouve le.
Le sceptre s’envola de son coussin de velours et fut rattrapait par Dieu en 1 seconde. Zac, lui, s’était fait ses ailes : une aile d’ange et l’autre une de démon. Un bâton long de prés de deux mètre apparut entre ses mains. Quand sa transformation fut terminé, Zac se mit en garde et Dieu en fit autant.
Un duel avait été engagé entre Zac et Dieu et tout le monde sais qu’un duel contre Dieu ne se termine par la mort de l’un des deux combattant.
Sur Terre le ciel était devenu gris et le temps se partageait la pluies et le vent glacial qui soufflait de temps en temps au milieu de cette tempête résultat de la colère de Dieu et de Zac réunit.
Des jets de lumière commencèrent à jaillir de la sphère nuageuse du sceptre, contrés par le bâton de Zac qui laissait voir d’horrible brûlures. Le vent commençait à souffler dans la salle quand un boule de lumière s’écrasa sur le ventre de Zac qui tomba à terre. Il était très pâle et avait l’air mal en point. Dieu le souleva dans les airs quelques secondes avant de le jeter contre un mur. Une bonne dizaines de bibelot tombèrent de leur socle sous le choc. A partir de ce moment là Zac ne pu se défendre et fut frapper sans arrêt. Enfin, un moment après, dieu s’arrêta et alla s’asseoir :
-Tu as perdu.affirma-t-il d’un ton supérieur.
Zac ne bougeait pas et le croyant mort, Dieu se leva et alla le voir. Un cri perçant et strident retentit et Zac s‘éleva dans le airs en même temps que la fumée qui s’échappée des trou de ses vêtements. Son bâton toujours en main, il leva un peu la tête et marmonna une phrase en latin puis il disparut. Son père restait planté dans la salle dévastée quand le même cri que précédemment retentit et une lame de métal traversa son ventre. Zac venait de réapparaître avec discrétion. Il tomba à genoux et agonisa, le sang coulait de sa bouche et de son ventre. Cela sembla durer pendant des heures enfin l’homme ferma les yeux et se laissa emporter dans l’abysse. Zac ramassa le sceptre de son père et le posa sur son coussin habituel, reprit sa forme normale et partit. Mais il avait des remords. Avait-il bien fait de tuer son père ? Est-ce que Satan en l’apprenant ne l’attaquerait pas ? Toutes ses questions se bousculées dans sa tête. Mais il avait tué Dieu et ce n’était pas un mince exploit. Satan ne pourrait jamais le tuer.